Le but de nos micros-métrages, à l’image des courts poèmes japonais du même nom, n’est pas de décrire mais d’évoquer l’atmosphère d’un instant, d’un lieu.
Chaque haïku est une possibilité nouvelle pour nous d’exprimer puis de confronter de manière sensible nos deux points de vue (sonore et visuel) d’un même moment vécu.
C’est un exercice spontané dont la principale contrainte est le respect de l’unité temps-espace.